Il y a un truc très pénible quand on prend le train de façon régulière pendant des durées assez longues, c’est cette dépendance à la connexion que l’on peut développer dans une vie sédentaire. Lorsque l’on est au bureau ou chez soi, généralement Internet est à portée de main, utilisable en cas de besoin ou d’envie. Pendant les trajets, non, et l’on se rend vite compte à quel point la déportation de tout un tas d’outils dans ce que les commerciaux se plaisent à appeler « le cloud » (ce qui est partiellement une arnaque, généralement, ils ne font rien de plus que du stockage à distance…). Messagerie, outils de suivi, connexions (pour le professionnel), ou encore films ou jeux (qu’il s’agisse de modes en ligne ou de streaming), le transport nous coupe de tout cela et nous force à redonner des lettres de noblesse au mode « hors-ligne ».
Le seul souci, c’est qu’une fois reconnecté, il faut faire le fastidieux travail de recopie de ses actions en ligne. Et là, on procrastine souvent…
(Ah oui, je teste l’appli iOS pour WordPress, en fait… )