Camp de Pâques

Rassurez-vous, il ne s’agit pas d’un revival de ma période scoute où nous allions, pendant une petite semaine, planter notre tente dans les sous-bois encore froids et humides des montagnes auvergnates, mais d’une activité qui me permettra d’occuper mes trajets de train pendant le mois d’avril

Certains d’entre vous ont certainement entendu parler du NaNoWriMo[1]National Novel Writing Month, même s’il s’est largement internationalisé, un challenge qui a lieu tous les ans au mois de novembre, et qui consiste à écrire entre le premier à 0h et le 30 à minuit une oeuvre de 150.000 mots.

Oui, c’est un objectif totalement intenable pour moi, et même si le ciel bas et gris pèse comme un couvercle aujourd’hui, nous ne sommes pas en novembre.

Par contre, en plus du mois officiel, l’équipe organise des « Camp NaNo », dont un en avril. Et il s’avère que mon estimée triummulier Oph[2]par ailleurs multirécidiviste de la réussite du NaNo, et auteur à succès recrutait pour sa « cabane » du camp NaNo de Pâques.

Pour ce camp, pas d’objectif ferme (chacun fixe le sien), l’idée est surtout de se retrouver (virtuellement) pour se motiver à écrire à plusieurs.

Je me suis donc piedauculté pour rejoindre cette cabane, et essayer (enfin) d’avancer (ou au moins de poser les bases de) Noir, le format « long » que j’essaie de mettre en place depuis plus de dix ans[3]les premières lignes du texte datent de 2003.

Donc si tout va bien, d’ici un mois, j’aurai un texte que j’espère consistant à vous partager…

References

References
1 National Novel Writing Month, même s’il s’est largement internationalisé
2 par ailleurs multirécidiviste de la réussite du NaNo, et auteur à succès
3 les premières lignes du texte datent de 2003

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