(Very) Short Stories – introduction

Brève introduction aux (Very) Short Stories en général, avec une petite foire aux questions que vous ne vous posez pas.

Les (very) short stories sont nées il y a entre 10 et 15 ans sous la pression de la rédactrice en chef du canard des élèves de l’époque, qui cherchait de la matière pour remplir ses numéros. J’avais à l’époque griffonné une page de texte, qu’elle avait trouvé bien, mais pas trop à sa place dans un numéro « spécial Noël » et elle m’avait demandé d’écrire quelque chose de plus en rapport. Je me suis donc exécuté, avec une histoire d’une absence d’originalité flagrante pour qui a un peu de connaissance du folklore de Noël. Mais bon, elle a semble-t-il plu au comité de rédaction (ou bien étaient-ils trop en manque de matériel? Nous ne le saurons jamais), et l’on m’a commandé d’autres textes.
L’avantage d’être étudiant, c’est que l’on a plein de temps en amphi pour avoir des idées lorsque le prof récite son poly. J’ai donc écrit avec une régularité qui n’avait d’égale que celle de la parution des différentes éditions du journal des élèves (i.e. très aléatoire) des histoires plus ou moins courtes et plus ou moins originales[1]voire même carrément dérivées d’oeuvres littéraires existantes.
Les Sessions 0 à 14 couvrent donc une période d’écriture comprise entre 2001 et 2004. Outre les textes publiés dans le journal des élèves, il y a une paire de textes écrits pour des jeux littéraires du forum de PoC à la même époque, que j’inclus dans la numérotation. La session 15 aura été écrite entre 2011 et 2014[2]oui, bon, tout ça pour ça, je sais…. Les suivantes sont encore à écrire…

FAQ:

  • Pourquoi ce titre: (Very) Short Stories? Parce que ce sont des nouvelles (short stories) très courtes (very short). Padoum tchi.
  • Pourquoi les appeler « Sessions »? Parce qu’au moment où est venue la question de la numérotation des épisodes, je regardais l’excellente série animée Cowboy Bebop, où les épisodes sont appelés « Sessions »
  • Pourquoi la numérotation comporte-t-elle des trous? Parce qu’il y a des textes que je n’ai jamais terminé, principalement. Pour certains, j’ai encore l’idée directrice en tête, donc il n’est pas impossible qu’ils aboutissent un jour, mais pour d’autres, je ne sais plus ce que je voulais raconter, et je serais donc bien en peine de les faire aboutir
  • Quelles étaient tes inspirations? Consciemment, je citerais Edgar Poe, Oscar Wilde, Henri Pourrat (et les autres auteurs plus ou moins connus de contes et légendes) ou encore les Archives des Anges d’Alix de Saint-André (plus tout un tas de films, bien entendu). Par contre, les textes écrits jusqu’ici l’ont été avant que je ne (re)découvre Lovecraft[3]pour la petite histoire, en lisant Lovecraft à 25 ans, je me suis rendu compte que j’en avais déjà lu quelques nouvelles pendant ma période boulimique de lecture du début du collège…
  • Tu as écrit des choses plus longues? Oui et non. J’ai commencé des choses plus longues (un roman-feuilleton, une « vraie » nouvelle…), mais rien n’est terminé. Un jour peut-être… Si vous voulez lire des textes plus longs (mais pas de moi), j’en profite pour faire la pub du blog littéraire de Welf: Au bord des chimères.
  • Tu es bien conscient que [insérez un nom de texte ici] est à la limite du plagiat? Il y a un texte dans le lot que je reconnais comme « trop » inspiré (et que d’ailleurs, je ne republierai pas ici). Il s’agissait en quelques mots d’une idée qui m’avait traversé la tête à la suite de la lecture d’une nouvelle d’Asimov sur la démocratie idéale, où le résultat du vote était déterminé par une seule personne, choisie par ordinateur pour être représentative et dont l’avis analysé par la machine était le résultat du vote. Que se passerait-il si, en son âme et conscience, il votait blanc? En fait, 90% de ma nouvelle était une redite du système de vote pour aboutir à ça. Pour le reste, j’ai quand même voulu injecter ma vision des choses…
  • Mais en fait, tu es bien conscient que tes textes sont nuls? Personne ne vous oblige à les lire… 😀
  • References

    References
    1 voire même carrément dérivées d’oeuvres littéraires existantes
    2 oui, bon, tout ça pour ça, je sais…
    3 pour la petite histoire, en lisant Lovecraft à 25 ans, je me suis rendu compte que j’en avais déjà lu quelques nouvelles pendant ma période boulimique de lecture du début du collège…